Figure 1: (a) Méthode typique de traction d’arbre (A) inclinomètres fixés à la base de l’arbre et à mi-hauteur de l’arbre ; (B) cellule de charge ; (C) enregistreur de données ; (D) treuil motorisé attaché par une élingue en nylon à l’arbre d’ancrage ; (E) câble du treuil entre le treuil et une élingue en nylon sur l’arbre de traction (F) ; (G) arbre d’ancrage. (b) Mesures utilisées pour le calcul du moment critique de rotation : m, masse de l’arbre ; F, force appliquée par le treuil ; d, distance entre l’arbre d’ancrage et l’arbre de traction ; x, déplacement horizontal de l’arbre de traction ; l, hauteur du centre de masse au moment de la charge maximale ; θ1 , angle du câble du treuil par rapport à l’horizontale ; θ2 , angle de la base de l’arbre au moment de la charge maximale ; θ3 , angle de l’arbre au-dessus du point d’attache au moment de la charge maximale. D’après Nicoll et al. (2006).
Figure 2: TArrachage d’un pin radiata (Pinus radiata) dans le Pays basque espagnol. Notez les inclinomètres fixés au tronc (du côté opposé à l’arrachage pour éviter tout dommage lors de la chute de l’arbre).
Figure 3: Fixation du câble de traction à l’arbre en question à l’aide d’une élingue en nylon. Un inclinomètre est visible juste en dessous du point de traction.
Figure 4: Système de treuil électrique personnalisé pour l’arrachage d’arbres utilisant un treuil télécommandé à partir d’un véhicule 4×4. Conçu par Didier Garrigou INRAE, Bordeaux.
Figure 5: Régressions entre le poids de la tige et le moment de rotation (résistance maximale au déracinement) pour l’épicéa de Sitka (Picea sitchensis) sur une gamme de types de sol et de profondeurs d’enracinement. D’après Nicoll et al. (2006).

Locatelli, T., Hale, S., Nicoll, B., & Gardiner, B. (2022). The ForestGALES wind risk model and the fgr R package (Vol. 1). https://www.forestresearch.gov.uk/tools-and-resources/fthr/forestgales/

Nicoll, B. C., Gardiner, B. A., Rayner, B., & Peace, A. J. (2006). Anchorage of coniferous trees in relation to species, soil type, and rooting depth. Canadian Journal of Forest Research, 36(7), 1871–1883. https://doi.org/10.1139/x06-072